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16 novembre 2015 par IO Software

Les coûts dans l’entreprise : Définition et principes

Contrôle de GestionLes coûts dans l’entreprise

Introduction

Un coût représente la quantité monétaire d’une consommation de ressources utilisée dans un but précis.
Selon le contexte, le terme peut revêtir des signification très différentes. Le terme utilisé seul ne signifie rien.

Il faut par conséquent préciser 4 grands critères :

  • Pourquoi ?
  • Le périmètre : Toutes les étapes du processus de production ? Découpage par entité juridique ?
  • Le moment de son calcul : Mise en place d’un système de reporting “temps réel”
  • Son contenu en termes de types de coûts

En premier lieu, il convient de préciser que le coût est une combinaison de charges.

  • Son analyse commence par l’analyse des charges de la comptabilité. Il existe des charges “incorporables” et des charges “non-incorporables”.
  • Les charges non-incorporables sont les charges qui sont laissées de coté car elles sortent du champ normal de l’exploitation.

Il n’existe pas de normalisation quant à la définition de l’incorporabilité de telle ou telle charge. Ainsi, chaque entreprise incorporera les charges qu’elles souhaite voir entrer dans ses coûts.
De toute évidence, les provisions pour litige, par exemple, semblent ne pas être incorporables.

A quoi sert le calcul de coût ?

D’une manière générale, son calcul, communément appelé “comptabilité analytique” sert à éclairer la prise de décision et à mesurer la performance de l’entreprise.

Le langage utilisé

Bien que le plus souvent le langage utilisé par un système de comptabilité analytique soit à dominante monétaire, la part des unités physiques peut être plus ou moins importante. Concernant l’environnement, par exemple, il sera possible de “compter” les émissions de CO2 plutôt que des valeurs monétaires.

Le périmètre organisationnel

La mise en place d’un système de comptabilité analytique passe par la délimitation des frontières organisationnelles prises en compte. Il n’est pas forcément judicieux de découper le périmètre d’un grand groupe en entités économiques mais peut-être plutôt en terme uniquement productif. Des holdings peuvent par exemple être créées pour détenir des droits sur tel ou tel procédé. Il y a peu d’intérêt à en tenir compte si ce n’est la volonté des dirigeants; la holding étant quasiment une boîte vide.

Les différentes typologies de coûts

  • Les coûts variables

Un coût variable est un coût dont le montant varie avec le niveau d’activité de l’entreprise.

  • Les coûts fixes

Par opposition aux coûts variables, les coûts fixent ne varient pas en fonction du volume d’activité. Le loyer d’un entrepôt est par exemple un coût fixe. Néanmoins les coûts ne restent fixent que par palier. Ainsi, une machine de production est un coût fixe pour une production de 1000 unités par exemple. Si l’entreprise décide d’augmenter sa capacité de production, il faudra acheter une nouvelle machine.

  • Les coûts directs

Un coût direct peut directement et sans discussion être affecté sans calcul intermédiaire à un objet de coûts. Par exemple, le coût de la matière première utilisée uniquement à la fabrication de certaines pièces identiques est un coût direct.

  • Les coûts indirects

Un coût indirect, par opposition, doit faire l’objet d’un traitement préalable de répartition (On peut parler “d’allocation”). Par exemple, le service ressources humaines impacte le coût de tous les produits de l’entreprise. Il en est de même du Service comptable …

Plusieurs méthodologies existantes vous permettront d’affiner votre gestion et par exemple de calculer votre point mort (seuil de rentabilité).

Conseil en Développement Stratégique des Entreprises

Classé sous :Contrôle de Gestion Balisé avec :Commercial, Coûts complets, Coûts Directs, Coûts Fixes, Coûts Indirects, Coûts Variables, Développement Commercial, Marseille

30 novembre 2013 par IO Software

Sécurité informatique : vos achats sur internet

Informatique

La sécurité informatique

D’une manière générale, il est recommandé d’effectuer ses achats en ligne sur des sites qui ont pignon sur rue et de se méfier des sites étrangers situés en dehors de l’Union Européenne.

Il faut également rester vigilant face aux sites de paiement en ligne qui vous ouvrent un compte, enregistrent vos données bancaires et vous permettent de régler vos achats en ligne par l’intermédiaire de ce compte. L’actualité récente a montré que certaines entreprises se sont faites pirater et que des millions de numéros de cartes bleues se sont ainsi évaporés dans la nature.

HTTPS, un moyen efficace de protection

Lorsque vous effectuez un paiement en ligne, en premier lieu, il faut vérifier que le lien vers le site distant commence par « httpss » au lieu de « https » et affiche un petit cadenas jaune fermé dans votre navigateur. Ce protocole basé sur un système de chiffrement garantit en principe l’intégrité et la confidentialité des données. En résumé, lorsque vous effectuez votre commande sur le site marchand, la communication entre votre navigateur et le site distant est cryptée au moment du paiement. Ceci est une mesure de sécurité parmi d’autres.

Toutefois, ce chiffrement de la communication a ses limites. En 2011, des chercheurs avaient réussi à exploiter une faille dans le protocole httpss utilisé par la grande majorité des sites sécurisés. Plus récemment, des organismes gouvernementaux américains et britanniques ont été mis en cause par la presse internationale pour avoir déjoué les méthodes de chiffrement supposées protéger les données confidentielles circulant sur le web.

Sur un plan théorique, il est facile de penser que des pirates informatiques habiles pourraient eux aussi déchiffrer l’information. Cependant, d’un point de vue pratique et statistique, le protocole httpss peut être considéré comme fiable à ce jour pour vos transactions financières.

Se méfier du phishing

Régulièrement, de faux courriels circulent vous invitant à suive un lien afin de saisir à nouveau vos informations de paiement. En apparence, ils sont émis par de respectables sites de commerce en ligne. Une fois connecté sur le site en question, ce dernier ressemble à s’y méprendre au vrai site existant, sauf qu’en réalité vous vous trouvez sur une copie. En effet, les pirates informatiques n’hésitent pas à usurper l’identité d’entreprises ou d’institutions publiques existants et connus du grand public pour accéder frauduleusement à vos données et récupérer numéro de carte bancaire, cryptogramme, nom du titulaire et date d’expiration. Certains peuvent même aller jusqu’à proposer une connexion « httpss » avec le petit cadenas pour mieux vous tromper.

Ignorez ces courriels sollicitant la mise à jour de vos informations de paiement, et ce, quels que soient le motif de la demande et le nom de l’expéditeur. De plus, retenez qu’un site marchand ne vous demandera JAMAIS le code secret de votre carte bancaire. Il ne vous demandera jamais non plus de donner votre numéro de carte bancaire par courriel.

Éviter le stockage de vos données confidentielles

Ce qui pose réellement un problème de sécurité, c’est le stockage de vos données de paiement par les sites marchands. En effet, certains stockent le numéro de carte bleue, vos nom et prénom, la date de validité de la carte et le cryptogramme situé au dos de cette dernière, sans même solliciter votre accord.

D’autres sites de commerce en ligne vous laissent le choix de conserver ou non vos coordonnées bancaires via une simple case à cocher ou à décocher selon l’option choisie. Seul bémol, très souvent la case autorisant la sauvegarde des données est déjà cochée par défaut. Or, l’internaute ne lit pas toujours l’intégralité des informations et peut passer à côté.

L’Union Européenne a souhaité interdire ces pratiques de cases préalablement cochées et a adopté en ce sens une directive 2011/83/UE le 25 octobre 2011 protégeant le consommateur au sein de l’UE. Elle devrait être transposée en droit français avant la fin de l’année et entrer en vigueur le 13 juin 2014.

La protection française

Le site httpss://www.internet-signalement.gouv.fr vous permet de signaler auprès des pouvoirs publics des comportements ou contenus illicites lors de votre navigation sur internet. En 2012, 120 000 signalements ont été enregistrés. Il met en garde contre des escroqueries récentes et donne également des conseils pratiques aux parents et aux jeunes. Cela vaut la peine d’aller le consulter.

Certes, en cas d’escroquerie les banques doivent vous indemniser à hauteur de vos pertes. Cependant, il est préférable d’éviter de vivre cette expérience traumatisante en suivant quelques règles de prudence et en faisant appel à son bon sens.

Classé sous :Informatique Balisé avec :Marseille, Protection, Sécurité informatique

30 novembre 2013 par IO Software

La transmission de l’entreprise artisanale aux héritiers

Droit

La transmission

Un jour ou l’autre, l’artisan sera amené à transmettre son entreprise. Il peut parfaitement anticiper la transmission de cet élément de son patrimoine et choisir son mode de transmission, que ce soit à titre gratuit à un proche (donation, héritage) ou à titre onéreux  (vente, location-gérance assortie d’une promesse de vente ou pas).

La donation

C’est l’outil idéal de transmission à un ou plusieurs membres de sa famille. Il s’agit d’un transfert de propriété sans contrepartie financière qui présente l’avantage de pouvoir se faire de manière progressive, sous la forme de donations étalées dans le temps, et dont les actifs peuvent être répartis comme l’artisan l’entend (en respectant la part réservataire).

La vente

C’est un mode de transmission à titre onéreux qui peut porter aussi bien sur le fonds de commerce, sur les murs etc…

La location-gérance

Elle permet à l’artisan de mettre en location son fonds à un gérant qui l’exploitera à ses risques et périls et versera une redevance au propriétaire. Il est possible de l’assortir d’une promesse de vente.

Préparer la transmission à l’avance permet à la fois de garantir la pérennité de l’entreprise et de récupérer son investissement. Si elle est bien réfléchie, elle peut se révéler intéressante à la fois pour le cédant et pour le repreneur.

Les professionnels estiment qu’il faut en moyenne 3 à 5 ans pour bien préparer sa transmission.

En effet, pour planifier son projet en toute sérénité il faut respecter un certain nombre d’étapes qui prennent du temps et nécessitent l’éclairage d’experts : réaliser un diagnostic complet de l’entreprise, mesurer les conséquences sur les futurs revenus, anticiper la fiscalité pour réduire la facture, organiser la transmission en fonction du repreneur, négocier éventuellement avec un repreneur extérieur et enfin faire fructifier le produit de la vente.

Avant d’effectuer des démarches et de prendre des décisions capitales à la fois pour l’entreprise,  l’artisan et ses proches, il est impératif de demander conseil à des professionnels compétents qui sauront guider l’artisan dans le dédale juridique et fiscal (notaire, expert-comptable, avocat etc..).

De son côté, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat propose un diagnostic « Expertise – Transmission » aux artisans qui souhaiteraient préparer leur transmission. Elle met également en relation repreneur et cédant potentiels, notamment grâce à  la Bourse Nationale d’Opportunités Artisanales (https://www.bnoa.net).

Pourtant, malgré les enjeux économiques, juridiques et fiscaux, plus d’un artisan sur deux n’anticipe pas la transmission de son entreprise.

 

Que devient l’entreprise lors du décès de l’artisan ?

Ne rien prévoir, c’est exposer ses proches à des conséquences juridiques, fiscales et financières. Rappelons qu’en droit français l’artisan exerce en son nom propre, ce qui entraîne une confusion de son patrimoine personnel et de son patrimoine professionnel. Par conséquent, au jour de son décès,  l’entreprise individuelle tombe également dans la succession de l’artisan, au même titre que l’ensemble des biens qui lui appartenaient tels que biens immobiliers ou mobiliers, véhicules, bijoux etc. Le notaire va alors dresser le bilan du patrimoine du défunt (composé de l’actif et du passif), y compris ses dettes qu’elles soient personnelles ou professionnelles.

Les options successorales des héritiers :

Les héritiers sont libres d’accepter ou non la succession. C’est souvent l’ampleur du passif qui va être un élément déterminant car tout héritier étant tenu de payer les dettes du défunt, accepter un héritage peut par conséquent présenter un risque sérieux. Lors du décès d’un entrepreneur en nom propre, il faut donc se montrer prudent, ne pas se précipiter et bien mesurer l’ampleur du passif. Plusieurs options se présentent à un héritier.

1/ L’acceptation est pure et simple :

Le plus souvent, les héritiers acceptent la succession du défunt. Il faut savoir qu’une fois acceptée, l’héritier ne peut plus y renoncer. Il reçoit sa part d’héritage mais est tenu de payer les dettes du défunt (dans la limite de ses droits dans la succession), parfois en vendant ses propres biens personnels.
L’acceptation pure et simple peut être expresse (faire l’objet d’un acte d’acceptation) ou tacite. Elle est considérée comme tacite lorsque l’héritier agit comme s’il acceptait la succession c’est-à-dire comme s’il était le nouveau propriétaire des biens du défunt.

2/ L’acceptation à concurrence de l’actif net :

Si l’héritier ne connaît pas le patrimoine du défunt, notamment le montant des dettes, il peut n’accepter la succession qu’à concurrence de l’actif net. Dans ce cas, il sera protégé si le passif se révèle plus important que l’actif.

Néanmoins, il faut savoir que cette option s’accompagne de formalités obligatoires particulières lourdes (déclaration auprès d’un TGI, publication, inventaire etc…) et est encadrée de délais très précis à respecter qui nécessitent l’intervention d’un notaire. En cas de manquement, il y aurait déchéance du bénéfice de cette option.

3/ La renonciation :

Dans ce cas, l’héritier ne perçoit rien mais n’est pas non plus obligé de payer les dettes. Le problème est alors reporté sur ses propres enfants ou à défaut aux cohéritiers.

Classé sous :Droit Balisé avec :Artisan, Marseille, Transmission

7 octobre 2013 par IO Software

Le PIB

Le PIB

Le PIB

Le PIB (Produit Intérieur Brut) est un agrégat des comptes nationaux.

Il représente la richesse produite par toutes les entreprises, de toute nationalité, sur un territoire concerné. Ainsi, le PIB français représente la richesse produite par toutes les entreprises exerçant sur le sol français.

C’est un indicateur de croissance économique.

Il se calcule de plusieurs façons selon l’approche voulue :

Approche Production dans son calcul

PIB= somme des valeurs ajoutées + impôts sur les produits – subventions sur les produits

Approche revenu dans son calcul

PIB =Rémunération des salariés+ impôts sur les produits+ autres impôts sur la production – subventions sur les produits – autres subventions sur la production+ excédent d’exploitation / revenu mixte

Approche demande dans son calcul

PIB = Consommation finale + Formation brute de capital fixe + Variation des stocks + Acquisitions moins cessions d’objets de valeur + Exportations – Importations

Ainsi, intéressons-nous à “l’approche demande”. La partie “Consommation finale” inclut la consommation des ménages, la consommation des entreprises et la consommation des administrations.

Il est donc aisé pour tout État de faire monter artificiellement son PIB en augmentant la consommation des administrations. Par exemple un État peut financer des emplois; nous appellerons cela en France par exemple des “emplois aidés”. La réalité est que le PIB sera soutenu par les divers gouvernements concernés mais malheureusement, ceci a un prix et l’État doit pouvoir les financer au risque de voir sa dette augmenter.

La puissance d’un pays, non son attractivité territoriale, pourrait et se mesure grâce à son PNB (Produit National Brut) qui est la quantité de richesse produite par toutes les entreprises du pays concerné même si ces dernières ont leurs sièges sociaux à l’étranger.

Le PNB n’est pas la norme mais il pourrait être intéressant de ne pas le laisser tomber dans l’oubli.

Classé sous :Economie Balisé avec :Développement Commercial, Marseille, PIB

23 août 2013 par IO Software

La clause de Ratchet

L'effet de levier

La clause contractuelle de Ratchet

Vous venez de créer votre société, votre capital est entièrement libéré et souhaitez chercher des investisseurs vous permettant de vous développer.

Lorsque ces derniers vont souscrire à des actions de votre entreprise, le cas le plus fréquent est qu’ils vont payer le goodwill, c’est à dire qu’ils vont souscrire à des actions à un prix plus élevé que les vôtres car votre société a évolué depuis ses débuts. En échange du paiement de ce Goodwill, ils insisteront certainement pour bénéficier d’une clause de Ratchet.

Ce mécanisme prévoit que lors d’un tour de table ultérieur, l’entreprise émettra au profit des premiers investisseurs de nouvelles actions supplémentaires à un prix peu élevé afin qu’ils détiennent autant d’actions que lors du tour de table précédent. La clause de Ratchet a pour effet immédiat de diluer la part des fondateurs.

Selon l’exemple que nous fourni le Vernimmen :

“Prenons ainsi l’exemple suivant d’une entreprise qui émet 1 000 000 d’actions à 1 € au profit des fondateurs et 800 000 actions à 10 € souscrites par des investisseurs. 18 mois plus tard elle procède à une seconde augmentation de capital au profit d’un fond d’investissement qui investit 5 M€ pour détenir in fine 36% du capital.
La répartition du capital au départ est :

  • Fondateurs : 56%,
  • Investisseurs : 44 %.

Sans clause de Ratchet on a après l’augmentation de capital :

  • Fondateurs : 36 %,
  • Investisseurs : 26 %,
  • Fonds d’investissement: 36%.

Avec mise en œuvre de la clause de Ratchet, on a alors :

  • Fondateurs : 28 %,
  • Investisseurs : 44 %,
  • Fonds : 28 %.

Mais le fonds demandant 36 % et non 28 % en contrepartie de son apport de 5 M€, il faut  émettre plus d’actions à son profit puisqu’il apporte toujours la même somme. Ce qui veut dire que le prix d’émission des actions devient plus bas. Donc il faut en émettre encore plus au profit des investisseurs du premier tour, ce qui a pour conséquence de ne plus donner les 36% demandé par le fonds d’investissement. D’où la nécessité d’en réémettre au bénéfice des investisseurs du premier tour, ce qui a pour conséquence . . . Quand le processus s’arrête, la répartition du capital est :

  • Fondateurs : 6 %,
  • Investisseurs : 58 %,
  • Fonds : 36 %.

Le Ratchet a complétement dilué les fondateurs dont la motivation devra être relancée d’une façon ou d’une autre. Une clause de pay-to-play peut limiter l’exercice de la clause de Ratchet aux investisseurs souscrivant à la nouvelle levée de fonds.”

Source : Vernimmen Lettre d’information n°116 Juillet 2013

Classé sous :Finance Balisé avec :Capital, Clause de ratchet, Développement Commercial, Marseille

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